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  • Après notre retour de Vars nous revouala déjà parties sur les chapeaux de roues en soirée.
    Petit repas au restaurant entre fillettes avant de retrouver la bande de dégénérés qu'on aime quand même bien. :-)

    Un Amour en Cage par-ci, une bouteille de vin qui circule, je capte des conversations avec Alex :
    - Bon les filles vous mettez 2 euros chacune et mwa j'en mets 4, de toutes façons je bois plus que vous !

    - Ooooh Margaux ! T'as gardé tes Moonboots ?!?


    Ha ha haaaaan... Très drôle... Laissez-mwa vous dire que ce sont mes BOTTES EN CAHOUTCHOUC et qu'elles ont sauvés mes pieds au Pays-du-Leprechaun-en-Folie !
    Et même qu'elles sont sublimes.
    Parfaitement.

    On squatte pas mal la cage d'escaliers vu que, malgré quelques résolutions de nouvelle année, personne n'a véritablement arrêté de fumer.
    J'applaudis.
    On observe un individu en polo vert qui se trémousse à qui mieux mieux sur la piste pendant que la chanteuse du groupe sur scène vocifère dans le micro.
    Charles réinvente le jeu des chaises musicales.
    Léa fait découvrir à quelques personnes les vertus dutripotage de ma peau de coude.
    Anaïs apprécie "Padam Padam" d'Edith Piaf.
    Surtout lorsque les paroles ont été changées.

    Puis avec ma Léa on a ramené ma Parano à Montfavet City avant de pointer sur Villeneuve Beach.
    Carrosse est réparé, c'est gentil de demander...
    On se cale, on fume un peu puis... Coup d'œil à nos montres. Il est 4h30.
    Léa :
    - Tu sais qu'on pourrait aller chercher notre petit-déjeuner à la boulangerie en ville maintenant ? Ils sont ouverts !
    - Nooon ! ‘Tais c'est pas raisonnable... Oh et puis marde, on y va !

    100m plus loin...
    - Marde ! J'ai p'us d'essence !
    - C'pas grave, viens squatter chez mwa, on va dormir.

    Dimanche en fin d'après-midi on se retrouve pour un petit tour au Trou de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Lune">la Lune</st1:PersonName> aux Angles avec Béren et son amoureux.
    Après une petite marche, on se cale, on papote dans les volutes de fumée.
    Quand vient l'heure de repartir, Léa et mwa sommes toutes seules.
    - Margaux, tu te rends compte que c'est ici que des nanas se sont faites égorger ?

    J'ai beau être en ballerines, il n'en faut pas plus pour me faire démarrer au quart de tour...
    Le chemin est recouvert de bouses et entourés d'orties ?
    Peu m'importe ! Pas envie de me cramer les pieds, je marche dessus !

    On sort enfin de sous les arbres, la nuit commence à tomber.
    - Je te décerne <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Ballerine">la Ballerine</st1:PersonName> d'Or pour cette performance mon Boud' ! C'est des chaussures tout terrain ?!?

    Ouais la classe, glamour toujours comme on dit !

    Lundi on retrouve les bancs de la fac.
    Avec <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Parano">la Parano</st1:PersonName> on s'est décidées pour un sport ensemble...
    LE BADMINTON !
    Et qu'on me fait courir dans tous les sens sur le terrain, et que j'ai mes courbatures qui se réveillent, qu'importe... JE SURVIS !

    Petit tour chez Voisin number 13, je squatte un peu et puis...
    - Oooh ! Nos résultats sont en ligne !

    Et puis...

    Oui, jouer contrebasses et résonner xylophones, j'ai obtenu mon semestre !

    Je décerne à ma Parano le prix de fouine du siècle.
    Et surtout celui de la GRANDE SUBTILITE.
    Pour plus de détails... Veuillez vous adresser directement à mwa-même.
    Et encore... :-D


    Mardi soir petit film en compagnie de mon Voisin préféré avec un pote et une copine à lui. Expédition au Pathé Cap Sud.
    Clément a une voiture de Papa.
    C'est la classe.
    Sortie de la salle, il est presque minuit.
    La fatigue se lit sur nos visages, nos cernes font coucou à nos mentons.

    Aujourd'hui, petit tour en ville avec Anaïs pour aller épier P'tit Jérémy au magasin de fringues dans lequel il fait son stage.
    Puis Loïc est passé récupérer la paire de gants abandonnée au Palais depuis plus d'un mois.

    A 19h30 j'entends Clément rentrer chez lui, juste avant qu'il ne me harcèle sur msn...
    - J'ai faim ! On va manger chez Laurent ? Y'a François aussi !
    Et c'est parti.
    On boit du vin, on écoute les chansons kitsch du portable de Clément, on regarde « Dismissed » et « Made », on rigole un coup avant de retourner au Palais.

    Vendredi.
    Chez Flo.
    On jouera à Buzz...
     :-)

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    Et sous vos yeux ébahis, voici le récit jour après jour du fabuleux séjour au ski de la Parano et votre serviteuzZz.

    Mardi 8 Janvier :
    Départ en voiture en compagnie des Grands-parents...
    Petit arrêt à Sisteron pour nous restaurer.
    Pour accéder au restaurant, il nous faut marcher sur la graaaaaaaaaaaande passerelle qui surplombe l'autoroute.
    Les routiers s'en donnent à cœur joie, klaxonnant nos démarches de déesses en combi de ski... La grande classe.

    A l'arrivée, installation, ballade pour louer les skis et... la traditionnelle partie de rami !

    La Parano ne possédant pas d'après-ski dignes de ce nom (mais une magnifique paire de basket), nous descendons à la cave chercher les bottes moumoute de ma Môman.
    J'avais oublié à quel point elles sont belles. Chubakah en aurait été jaloux ! (C'est simple, elles ont des poils partout*)
    On renfile pantalons de ski, anoraks et bonnets pour affronter le monde du dehors.

    Puis installation de notre piste de luge. Après quelques descentes, il est temps de tester notre degré de « warrioritude », à DEUX sur la luge-pelle. Pauvre luge-pelle, enfoncée jusqu'au manche dans la neige fraîche, alors que nos deux personnes ont dévalé le reste sur nos augustes postérieurs.

    Mercredi 9 Janvier :

    Première descente. Nos skis sont splendides, lourds, noirs pour la Parano, dorés pour mwa, ça déménage sur les pistes, c'est mwa qui vous l'dis ! (Poussez-vooooouuuuus !!!!!*)

    Jeudi 10 Janvier :
    Je perd un morceau de Roger dans la nuit, c'est le drame nocturne du séjour.

    Attitude Free Ride pour le séjour... Consiste à ignorer totalement la composition de la piste (que ce soit bosse, plat... Poudreuse ou neige dure...*), et à foncer schuss à donf' et rock'n' roll au mépris du danger. (Schuss à donf' et rock'n rooooll !!!*)
    Premières descentes avec le sublime bonnet rayé et le masque du Poussin. Ca déménage toujours autant à Vars-les-Claux.

    Première chute à l'arrêt d'Anaïs. Somptueuse.
    Dans les Peyniers, une brèche sournoise et invisible a fait basculer la Parano. Moooooon Dieuuu !

    Premier arrêt dans la neige. Histoire de .... Ben d'admirer le paysage quoi !*

    Vendredi 11 Janvier :
    Il neige comme il faut. Toujours Free Ride, toujours chute à l'arrêt de
    la Parano.
    Rho que je suis bête, j'ai planté mon bâton avant d'être arrêtée pour de bon, alors forcément mon ski n'a pas pu descendre plus bas sans heurter ledit bâton ... catastrophe –et grosse honte :-D*

    On fait gentiment connaissance avec les pisteurs.
    - Bonjour les filles ! Aaaah ça fait plaisir de voir de beaux sourires comme ça !

    Le soir, on part acheter les cartes postales... Et un briquet Vars somptueux pour mwa !

     
    Samedi 12 Janvier :
    Il a neigé et il neige encore. Nous courageuses, nous téméraires, nous Free Ride attitioude, nous le téléski du Lièvre prendre et nous Les Heureux dévaler.
    Seulement vouala... 50 cm de neige pas damée ça donne : nous les preum's à laisser nos traces dans le manteau blanc immaculé...
    Deux pisteurs nous suivent et replantent les balises pour délimiter la piste.
    - Aaaaaah euh... Anaïs ? Je crois que tu es sortie de la piste là !
    - Mais nooooon !!!! ... Ah si ! Ah je me disais aussi...
    On s'arrête tous les 10 m et les pisteurs s'assurent que tout va bien pour nous :
    - Ca va ?

    Le Flo débarque avec sa classe dans la magnifique station ensoleillée de Vars. Nous traquons l'individu jusqu'à trépas pour qu'il nous rejoigne.
    Sauf que l'individu en question aime les pistes à bosses.
    Neige fraîche + piste pas damée = bonheur du Flo... et cauchemar de mwa-même.

    Je ronchonne et râle jusqu'à la chute.
    Le ski droit, sans me consulter, a décidé d'aller dire bonjour à la grosse bosse tandis que le gauche, moins téméraire, voulait prendre le virage.
    Au final, un sympathique nœud de jambe, et écroulée par terre je suis morte de rire.
    La parano affolée :
    - Ca va ??? Margaux ???
    - Mouarf mouarf mouarf, comment j'me suis croûtée !!!

    Première embrouille avec des gens...
    - Aaaaaaah ben c'est pileuh poileuh l'endroit pour s'arrêter là !
    - Héééé ta gueuleuh ! Tirez-vous ! (Et autres joyeusetés de ce même acabit)...
    L'après-midi... oooh il neige... Mpfff allez on reste au chaud.
    En fin d'après-midi, rencontre avec la pharmacienne, du gros dossier...
    Je retrouve le morceau de Roger manquant.

    Dimanche 15 Janvier :
    A mi-descente de notre piste fétiche, Les Heureux, je me décide pour un dérapage afin d'attendre la Parano qu'est un peu lente à descendre... ;-)
    Mais soudain tout bascule.
    Mes spatules continuent leur dérapage jusqu'à aller se planter dans le bord de la piste, tout plein de neige pourrite, recouverte de bonne poudreuse. Le haut de mon corps s'écrase donc, tout naturellement, en avant, le pied gauche déchausse, le bras gauche décide d'aller voir ailleurs si j'y suis et c'est le véritable soleil dans la puff. La grande classe. La Parano est morte de rire.

    Dans le télésiège 6 places nous ramenant au sommet, un pisteur monte avec nous. Nous le faisons LOL (= Laugh Out Loud = Rire Aux Eclats). (C'est sûr que RAE ça rend moins bien que LOL).

    Dans notre désir de rentrer sur Vars de Risoul, nous nous engageons sur une piste rouge... Pas damée... La Parano gère magnifiquement bien le virage entre les bosses et VUIP VUIP la vouala déjà en bas.
    Derrière je galère. Les skis ne sont plus trop parallèles, les bâtons veulent dire « bonjur » au sapin, à mi-piste j'en ai ras le bonnet.
    Schuss à donf et rock'n roll comme on dit.
    Mais je n'avais point vu les bosses aiguisées de la fin de piste...
    Non pas de chute mais grosse frayeur (ch'uis pas super coupine avec les sapins).
    Commentaire d'un skieur à l'arrêt : « Ooooh bien contrôlé ! »
    Merci merci j'y travaille beaucoup.

    Dans les Peyniers, l'après-midi, nous dévalons la piste bleue. Anaïs me double et fonce. La pente remontant légèrement sur la fin, je ne distingue pas vraiment la source de toute cette neige qui s'envole.
    En arrivant je comprend.
    Dans un dernier élan désespéré pour éviter un père et son fils stationnés à un endroit peu stratégique, Anaïs B., 19 ans et des poussières, a dérapé avant de lamentablement s'étaler de tout son long sur la piste, un ski déchaussé, le bonnet de travers.
    Image d'Epinal.
    Somptueuse. Magnifique.
    - Ouais non mais déjà en arrivant j'étais un peu désordre.
    Ce furent ses premiers mots.

    Alors que nous lézardons au soleil, un groupe de russes débarquent...
    - Bla bla blaaa. Dröoooobski ! Dröoobskiii !
    Je lis un plan des pistes pendant que la Parano me sert ces quelques mots :
    - Ah ! « Dröooobski » ça veut dire « chasse-neige » !
    - Ah bon ? Comment tu l'sais ???

    Lundi 14 Janvier :
    A un télésiège nous croisons un pisteur sympathique, déjà rencontré :
    - Aaaah attendez, je vérifie juste le forfait d'une des deux... That's ok baby ! You can go !

    La journée est riche en people.
    Nous croisons tout d'abord Jamiroquai en snow alpin. Il est quelque peu cramé par le soleil mais garde sa superbe.
    A Risoul c'est Chabal que nous apercevons, tentant un minable 180°. Il m'a énormément déçue.
    Et puis en rentrant au chalet, je fais part à Anaïs de la présence du chanteur des Maroon 5 à l'avant d'une voiture venant de nous croiser.

    Le soir, retour à la pharmacie. Alors qu'Anaïs compte gentiment sa monnaie, un bruit de chute, suivi d'un gros BOUM sur le carrelage retentit... Une dame vient de s'écrouler sur le sol, victime d'un malaise.
    Je fais judicieusement remarquer à la Parano que, quand même, dans une pharmacie c'est honteux... ce qui suffit à la faire sombrer dans un fou rire lui aussi honteux. Pourvu que la méchante pharmacienne ne s'en rende pas compte !

    On est quand même pas des monstres, y'avait plus de peur que de mal. :-)

    Puis petit arrêt au Sherpa. Un caissier parle dans le micro « Simon à la caisse 2 s'il te plaît».
    Remarque de votre serviteuzZz : « Hummmmm la voix sensuelleeee... ».
    On fait encore rire les gens devant nous.
    Appelez-nous Bozo et Kiri.

    Le soir-même nous recroisons le chanteur des Maroon 5. Il louche un tantinet, mais l'est gentil. D'ailleurs il nous a parlé. On doit avoir des têtes qui disent « Parlez-nous on mord pas !!! ».



    Mardi 15 Janvier :
    Le soleil brille ! Terre mon dieu TERRE !

    Un autre copain pisteur... nous :
    - Bonjour !
    - Re bonjour ! Ah non je ne vous ai pas encore vu aujourd'hui ! Mais vous êtes encore là les filles ?!? Les vacances se prolongent !

    Alors que nous nous relaxons tranquillement au soleil sur les Peyniers à nous passer la cigarette rigolote, les gens nous apostrophent :
    - Houuu houuu !!! Houuuu houuuuu !!! Ca va ??? La neige est bonne ???
    - Ouiii ouiii ! On est très bien !!
    - Vous attendez le Ricard ?
    - Oui vouala !
    - On vous l'amène, on revient !

    Un peu plus tard, un autre individu :
    - Hoooohééééé !!!!

    Au retour on se félicite du choix de notre télésiège, bien confortable...
    - Margaux, tu vois c'est presque le siège 214 !
    - Ouais il est derrière nous.
    - Non non non il est devant, regarde on est le 204 et devant y'a le 205.
    - On est le 206, connasse ! ;-)

    Après un bon goûter, nous voilà parties acheter le pain, 4 kiwis pas trop durs et une bouteille d'un litre de lait. La tentation est trop forte, on embarque aussi la luge pour session vidéo.
    Sur le chemin... Anaïs :
    - Oooooh regarde !!! Un lapiiiiin !
    - Oooooooh !!!!! Mais ce n'est pas un lapin c'est un lièvre Anaïs.
    Derrière une fenêtre, un monsieur nous mime le lapin avec ses mains en guise d'oreilles sur son crâne chauve. Marrade à tous les étages.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    Ah ! Jean-Luc tu tombes bien ! *

    Le soir nous recevons des nouvelles fraîches d'Avignon grâce à notre sauveur le P'tit Jérémy.
    Entre-temps, Timothée est rebaptisé « Homme-WahoOuU », dixit lui-même.

    Mercredi 16 Janvier :
    Tempête de neige. Nous décidons de ne PAS sortir au mépris du danger.
    Ouééééé ! Bonne idée ! Et on vivra sans roi ! (Sans roi, sans roi, lalalalalèèèèreuhhhh !)*

    L'après-midi, petite marche jusqu'au Col de Vars... Manque de bol nous n'avons pas pu nous rendre au sommet, mauvaises conditions météo qu'y' disaient...
    Trois heures plus tard nous vouala rentrée au chalet.

    Jeudi 17 Janvier :
    Dernier journée de ski.

    Lors de notre pause quotidienne aux Peyniers, nous admirons l'individu belge, combinaison et bonnet relevé sur la tête...
    - Ooouuhh je m'arrète !
    Ses collègues...
    - Pour quoi faire ?
    Lui...
    - PIPI !
    Puis, nous apercevant assises dans la neige...
    - Ah merrrrrte ! Merte ! J'peux pas y aller ! J'avais pourtant réservé ma pissotière !
    Grande classe toujours...

    Des adieux déchirant aux pistes et à nos skis tellement somptueux... Anaïs :
    - Ah mais en noir ils étaient trop classe !
    - Hmmm... Je trouve qu'en doré ils étaient plus tape-à-l'œil mais subtilement...

    Vendredi 18 Janvier :
    Nous partons faire une ballade sur les coups de 10h... 
    Pinaise que c'est ABRUPT !!!
    J'vais mourir Anaïs ! Tu m'entends ??? MOURIR !!!!
    Aaaaaaah du plat !!!!
    Une heure et des bananes plus tard nous vouala rendues au COL DE VARS !!! HURRAY !
    Photo à l'appui bien sûr...
    Petit pause près de la piste de ski de fond, au soleil, puis tout le monde redescend au chalet.

    Il est 12h50 et Môman a débarqué !
    Une giga raclette d'obèse plus tard, nous vouala affairée sur nos sacs.
    Je me cogne une derrière fois la tête au plafond incliné avant que tout le petit monde ne retourne à la civilisation...

    (* =Contributions d'Anaïs B.)

     


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    Y'a eu Nouyel et ses dizaines de cadeaux au pied du sapin.
    Les journées à traîner en pyjama avec Poussin devant l'ordinateur et mwa devant la télé.

    La soirée chez Béren, à Nîmes, pour son anniversaire, à manger des bâtonnets de carottes trempés dans de la sauce crudités... AAAAAH ‘VOYEZ QU'C'EST QUAND MÊME MEILLEUR QUE DES PIZZAS ?!? :-D Le sac à dos PIG dans lequel Patou et Jean-Gab trouvent facilement de la place (cf la photo), la poupée "ex lover voodoo doll", etc...

    Les soirées au Palais en comité réduit, pas plus de 8 personnes.
    La partie de Trivial Pursui.

    Special Quote :
    - Bach était-il compositeur, boulanger ou scultpeur ?
    - Euh... J'en sais rien !

    Non on ne citera pas de nom ! :-)

    La partie de Tabou endiablée, la Parano et mwa contre le reste du monde, aka les Jérémys, Mathieu, Timothée et Loïc.

    Les après-midi en ville avec la Saloperie de mon cœur, Rocky en laise, une cigarette à la main, la grande classe. Les parties de Mario VS Sonic aux Jeux Olympiques sur la Wii, à faire travailler nos pauvres petits bras en ramant à qui mieux mieux, en tentant de ne pas rater les services de ping pong, en s'associant malicieusement pour l'épreuve d'escrime.

    La soirée avec lui encore, et Manon, et Alex petit frère à jouer au Trivial Pursuit, oui parfaitement... ENCORE !
    Même que j'ai gagné. On avait pris les questions pour adultes au début, j'ai répondu juste à deux questions ! Puis on a récupéré celles pour enfants, c'était trop dur... :-)

    Une soirée calme au Delirium, à la table délaissée des musiciens, avec juste mwa pour rattraper la dose de testostérone impressionnante qui grouillait sur les chaises. :-D
    Y'avait Vince très en forme, Alex avec sa nouvelle veste, ses problèmes existentiels et son goût légendaire pour la musique tecktonikienne... :-)
    Le retour à minuit pile avec mon Flo.

    L'après-midi du 31 avec ma Parano, Flo et Sarah à Auchan, à jouer à la famille, avec un petit chariot.
    - Le premier qui voit les Apéricubes, il crie « APERICUBES ! »
    - APERICUBES !!!

    - Le premier qui voit du jus de pommes il crie « JUS DE POMME ! »
    - Y'a plus de jus de pomme...

    La préparation du gâteau au chocolat paranoïaque et de mon cake dans la cuisine de Flo. Le batteur qui date de 1980 au bas mot a éclaboussé la pull d'Anaïs. On a léché le fond du plat, c'était bon. On a rangé. Flo a préparé la table... Nappe blanche sur laquelle il avait nonchalamment jeté de (factices) pétales de roses.

    La soirée du 31, riche en clopinettes et autres, en phrases cultes mais oubliées, en rencontres etc... Un live du « Mister Rosé » dans l'herbe, une choré de la YMCA suivi par un petit groupe de personnes, un moment émotion sur « With or Without You » à se tenir par les épaules, la tête de Vince venant se loger dans le cou de Charles, les paupières mi-closes, un moment Ricoré quoi... ;-) De la Tecktonik un peu partout, le décompte devant 1 »20 Minutes de Bonheur », des BONANEE juste après, il est déjà 4 heures du matin et nous découvrons le RIRE CRISPANT. « Tu as récupéré toutes tes affaires ? »

    La fin de la nuit voit se réduire le nombre de personnes présentes dans le salon. La Parano, Mister Pringles et mwa-même, on est des rescapés. Il est 6h45 du matin, Mister Pringles ronfle sur Anaïs qui somnole pendant que je fais des vocalises sur « Take on Me ».
    A 7h, on se réchauffe des saucisses cocktails puis on grimpe se coucher.
    Génial y'a personnes dans la mezzanine. Un postérieur mal placé et je trébuche des matelas avant de sombres dans un sommeil par réparateur du tout de 2h30...

    Il est 10h, on vient d'entendre Timothée partir en fouine.
    Je me réveille totalement avec un RIRE CRISPANT de circonstance, qui permet à Vince de nous signaler qu'il est également réveillé.

    En passant devant la chambre où ce dernier a dormi je l'apostrophe ;
    - Je dois avoir une tête qui fait peur...
    - AAAAAAAAAAAAAAHHHHHHH !!!

    Puis on s'attaque au ménage, j'ai toujours mon t-shirt GRANDMA, Pauline et sa coupine nous abandonne après avoir rassemblé les bouteilles vides. Ne restent qu'Anaïs, Vince, Mister Pringles, Flo et mwa-même.

    Anaïs passe l'aspirateur et avec Vince on s'amuse à écraser des chips par-terre. « D'toutes façons faut bien rentabiliser l'énergie de l'aspi ! », mon acolyte rajoute un peu de pollen ramassé dans le jardin. La cuisine ressemble à un champ de bataille.

    Après un tour dans le garde-langer-épicerie-réserve-... de Flo, et d'une tentavie infructueuse de M. Vince et mwa-même pour voler des paquets de biscuits, nous sommes condamnés à passer la serpillière.


     Nous prenons nos pauses syndicales tous les quarts d'heure pour une clopinette, un verre d'eau, quelques papillotes...
    Puis le repas de midi à base de pizzas est pris par tout ce petit monde. A 15h30 Flo a raccompagné ses aides ménagères...

    C'est à ce moment-là que le rhume-de-la-mort-qui-tue s'est véritablement déclaré... Journées en mode loque, soirée avec le Boud' et Léa sympathique, à base de foie gras, dinde, banane au nutella, soirée du lendemain annulée pour cause de fièvre...

    Puis celle d'hier... Débutée dans un kebab, super, finie dans un pub SANS fumée... Même pour une fumeuse c'est chouette. On est parti à la fermeture, avec les garçons censés nous raccompagner en voiture jusqu'à Carrosse. On a mis trois plombes, le P'tit Jérémy nous a régalé d'un show digne de Billy Elliot pendant notre longue marche pour retrouver la voiture de Grand Jérémy.

    Carrosse a fait des siennes mais je suis rentrée saine et sauve.
    Hier j'ai eu la fève et passé la journée en pyjama et faire mon CV en regardant The OC avec Poussin.
    Avec la Parano, on part au ski demain matin.


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