• Api Beurzdaï



    Eh ui... Un an déjà !
    Ca passe plus ou moins vite mais je me revois encore m'énerver devant l'écran pour trouver EXACTEMENT cette nuance de vert, me secouer l'encéphale afin de sortir quelques lignes pour démarrer. Ui... L'angoisse de la page blanche, toujours toujours ! :-)

    A part ça... Un an.

    18 ans
    Le permis
    Le bac
    L'été 2006
    8 mois en Irlande

    Et bim ! Finalement on a vite fait le tour, c'est pas vraiment rassurant...

    Creusons... Dig my dear friend ! DIG !
    Petit papillon virevoltant de groupes en évènements, des tonnes de photos, des crises de larmes, des sourires, du doute, de bonnes nouvelles, des retrouvailles...
    Le meilleur du fait de partir à l'étranger, c'est cette boule dans le ventre lors des retrouvailles.

    Trépignements devant le tapis roulant pour récupérer mes valises et puis sprint jusque dans les bras de Papa-Maman.
    J'ai mal aux pieds dans mes bottes, j'ai la jupe qui remonte, et plus je marche vite, plus je galère mais en haut de la rue Saint-Agricole c'est ma Parano que je vois. Je voudrai m'arrêter pour voir ce qui a changé chez elle, si elle a toujours la même moue quand elle m'attend. Mais non je ne m'arrête pas, je cours presque et nous voilà reparties quelques mois en arrière. Non ça n'a pas changé...
    Le soir du même jour, c'est en grimpant les escaliers que la boule revient, j'ai chaud et j'arrive essoufflée devant la porte du studio. Ils sont là, ils chantent, ils s'agitent, certains galèrent, tout pareil, avec de nouveaux visages. Et puis, nous voilà, les anciens, partis manger quelque chose. A la porte je guette Léa, qu'est-ce qu'elle fait ? C'est trop long, elle devra déjà être là, je m'agite et ses deux bras m'agrippent par le cou.
    Comme dans les dessins animés, on peut voir le poids s'envoler gaiement avec ses deux ailes. Piou piou...
    Je pourrai continuer à raconter mes retrouvailles avec tous.
    Y'avait mwa attendant dans le froid « devant le stand du Père Noël » Olivier et Manon, les bisous timides et les vrais câlins.
    Les hurlements comme seules les filles peuvent le faire, en rencontrant par hasard Carla.
    Le Boud', pis Béren, pis Flo, pis Ameline, pis Doudou.
    Et il faut déjà leur dire au revoir.

    3 mois ça passe vite, pire ! ;-)
    Je reviens déjà dans 9 jours.

     «  Le meilleur du fait de partir à l'étranger, c'est cette boule dans le ventre lors des retrouvailles. »
    Ce qui l'est moins c'est que l'excitation n'atteint son paroxysme que la première fois.
    Mais on peut toujours faire « comme si ».

  • Commentaires

    1
    'Naïs
    Jeudi 5 Avril 2007 à 12:40
    les grands esprits...
    se rencontrent ! je me mets ma musique, viens sur ton blog, et découvre que tu as mis en bande son exactement LA chanson que j'ai déjà dans les oreilles ... c'est magique hein ? j'adore ton article, je ressents les mêmes choses, mais tu es plus douée pour le raconter ! à part ça je me languis que nos bras se rencontrent à nouveau, en plus de nos (grands ^^) esprits ;) heu au fait, c'est quoi cette moue ... ?! (remarque, il est vrai que je fais tout le temps des grimaces sans m'en rendre compte ...cf cours de filo mouarf')
    2
    Jeudi 5 Avril 2007 à 15:50
    mouuuuue :-)
    ben c'est ta petite moue de parano, tu sais, tu regardes autour, tu fais un truc avec ta bouche comme si t'allais faire un bisou, tu tournes ton regard et tu recommences ^____^ c'est mignon et ça me maaaaaaaanque :-D oohhh ui vive les retrouvailles des grands esprits! bientot, bientot :-)
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